jeudi 28 février 2013

C'EST PARTI ! DIRECTION PARIS

Les valises sont prêtes, les appareils photos aussi, les batteries chargées et les cartes mémoires de réserve aussi !
Ce soir départ de Sarrebourg, direction Paris Orly ouest, envol vers Madrid à 05 H 40, puis départ pour SAN JOSé à 11 H 40 pour y arriver à 16 H 15 après 11 H 35 de vol !

Eh oui, où est la différence, tout simplement dans le décalage horaire !


En bus, premier arrêt, il est 2:10


Il est 6:15.....embarquement, puis décollage à 7:40


DEPART MOINS 5 heures !

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Ce soir départ de Sarrebourg, direction Paris Orly ouest, envol vers Madrid à 05 H 40, puis départ pour SAN JOSé à 11 H 40 pour y arriver à 16 H 15 après 11 H 35 de vol !
Eh oui, où est la différence, tout simplement dans le décalage horaire !


En bus, premier arrêt, il est 2:10 Il est 6:15.....embarquement, puis décollage à 7:40

samedi 9 février 2013

PANAMA INFOS


HISTOIRE


Dès le début du XVIe siècle, l’isthme fut colonisé par l’empire espagnol qui y ouvrit de grandes routes marchandes pour l’or et l’argent du Pérou. Comprise dans la vice-royauté du Pérou puis rattaché à celle de Nouvelle-Grenade, la région fit partie de la Grande Colombie après la séparation de l’Espagne en 1821.

Un groupe d’indépendantistes discrètement soutenus par les États-Unis déclara l’indépendance de Panamá de la Colombie le 3 novembre 1903 et la souveraineté des États-Unis sur le canal de Panamá (dont la construction fut commencée en 1881 sous l’impulsion de Ferdinand de Lesseps et inauguré en 1914), par un accord à perpétuité signé la même année.
Cette construction donna lieu, en France, à un scandale politico-financier.

De nombreux troubles sociaux et politiques agitèrent cette république qui connut des régimes plus ou moins autoritaires.
Le général Omar Torrijos renégocia en 1978 l’accord sur la zone du canal (Traités de Torrijos-Carter). À sa mort en 1981, le général Manuel Noriega, commandant la garde nationale (qui fut à une période rémunéré par la CIA, s’est mis, dans les faits, à contrôler le pouvoir en accentuant le caractère populiste, nationaliste et très anti-américain de sa politique. En juillet 1987, les États-Unis ont tenté d’obtenir l’extradition de Noriega, pour trafic de drogue, puis ont soumis le pays à des sanctions économiques. Noriega, en dépit d’une opposition civile vigoureuse, s’est maintenu au pouvoir avec l’aide du Japon intéressé par la construction d’un nouveau canal, jusqu’à l’opération Just Cause lancée en décembre 1989 par l’armée américaine pour le capturer. Il sera remplacé par Guillermo Endara, son concurrent aux élections présidentielles de 1989, que Noriega avait annulées.

Le canal de Panamá fut rendu au Panamá le 31 décembre 1999, suite aux Traités de Torrijos-Carter. Depuis le 22 octobre 2006, les Panaméens ont décidé d’agrandir le canal, pour faire face à la hausse du trafic et rester compétitif sur le transbordement


GÉOGRAPHIE


Le Panamá est un pays d’Amérique Centrale, entouré par la mer des Caraïbes, l’océan Pacifique, la Colombie et le Costa Rica.
Le Panama est traversé par le canal de Panama. Ce pays est doté d'une superficie d'environ 75 517 km²3, ce qui est comparable à un peu moins du dixième de la superficie du Chili, ou bien à0.15 fois celle de la France. Le Panamá, par sa situation dans l’isthme reliant l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud, occupe une situation stratégique.

Un canal interocéanique long de 79,6 km et composé de trois jeux d’écluses (celle de Miraflores comporte deux chambres inversées, celle de Pedro Miguel se compose d’une seule chambre, celle de Gatún comporte trois chambres dénivelées), traverse le pays et permet d’aller par bateau de la mer des Caraïbes (océan Atlantique) à l’océan Pacifique et inversement, sans contourner l’Amérique du Sud par le sud du Chili et sans faire le tour du monde. Ce canal offre un gain de temps considérable pour les transporteurs maritimes (le trajet dure de huit à dix heures).

La construction du canal a débuté en 1881. Le projet est alors une initiative française après le succès du canal de Suez. En 1888, les travaux s’arrêtent en raison des problèmes financiers de la Compagnie universelle qui exploite le canal. Ce n’est qu’en 1914, après reprise des travaux en 1904, que le canal peut ouvrir. Le premier navire à passer le canal est alors le SS Ancon.
Les États-Unis exploitèrent ensuite les droits du canal (sur dix miles) avec le traité de Panamá et malgré l’indépendance du Panamá signé avec la Colombie en 1903. En effet les travaux ont repris grâce à la pression américaine qui a aussi contribué à la révolte du Panamá envers cette même Colombie.
En 1978, le Panamá a repris le contrôle de la concession sous les interventions multiples du général Omar Torrijos au pouvoir. 


ECONOMIE


Le Panamá possède la plus puissante économie d'Amérique centrale. Le pays doit principalement son essor économique au Canal de Panamá. La ville de Panamá est le plus important centre financier d'Amérique centrale. Le PIB par habitant, de 6 406 dollars (estimation 2008), est également le plus élevé de la région. Le pourcentage du PIB consacré à l'investissement était de 26,8%3 du PIB en 2010. Celui consacré à l'éducation était de 3,8%3 en 2008 et le pourcentage du PIB consacré à la défense était de 1%3 du PIB dans les dépenses militaires en 2008.

Les services occupent une grande place dans l’économie du Panama. Les principales activités sont les services financiers, le commerce et le tourisme. Pour ce qui est des principaux produits du secteur primaire du Panama ils sont ; les bananes et autres fruits, le riz, le, mais, le café, le sucre de canne, le bétail, les légumes, le bois de construction et les crevettes.

Ce pays contient des ressources naturelles limitées telles que le cuivre et l’or. Chaque année, il y a 1 050,6 milliers de tonnes de bananes produites au Panama. En 2008, 29,96% des terres du Panama constituent des terres arables agricoles. Puis, 7,36% des terres panaméennes sont des terres arables. Tandis que le secteur secondaire du Panama est caractérisé par l’industrie. Les industries les plus innovées sont celles où l’on retrouve les matériaux de construction ; tel que le ciment et la fabrication de meuble, ainsi que la préparation des aliments, de produits laitiers, le raffinage du sucre, la fabrication de vêtements, les produits pétroliers, les produits chimiques, les papiers et tout autre produit de papier puis l’impression. 

La restitution de la zone du canal, contrôlée par les États-Unis jusqu’en 1999, a encouragé le lancement de nouveaux projets. Panamá fait partie des pavillons de complaisance. Le 22 octobre 2006, les Panaméens ont décidé par référendum de rester compétitifs dans le trafic de marchandises. D’après l’ACP (organisme qui gère le canal) les retombées économiques générées seront énormes. Cet agrandissement à un jeu de trois écluses s’imposait car le trafic de container est en constante augmentation, de plus les deux canaux ne pouvaient plus absorber le flux incessant de navires. Cet élargissement va permettre aux bateaux à fort tirant d’eau et à grand tonnage de ne plus faire de détour et donc de gagner du temps, cet élargissement permettra un gain de temps énorme, ce qui permettra d’engranger plus de profit. 

Du côté panaméen, cela va engendrer la création de près de quarante mille emplois directs et indirects et permettre à la population de ce pays, dont 40 % vit sous le seuil de pauvreté, de profiter de la manne économique. Cela peut aussi influer sur la région où les investisseurs pourront trouver des conditions avantageuses à leur installation, de trouver des taux d’impositions faibles et pourquoi pas profiter d’une zone franche comme on en trouve à la frontière sud des États-Unis. De plus, un troisième élargissement est déjà prévu pour faire face à la hausse du trafic et pour rester compétitif. 


LA CULTURE


L’espagnol est la seule langue officielle, mais de nombreuses personnes parlent aussi l’anglais. 
Les Espagnols ont converti les indigènes et les noirs au christianisme, aujourd’hui encore très présent. Cependant des restes de religion indigène ou africaine existent toujours. Le Panama compte de nombreuses danses d’origine africaine.
Les Panaméens font une semaine de carnaval qui se termine la veille du mercredi des cendres premier jour de carême. 

PANAMA INFOS


HISTOIRE


Dès le début du XVIe siècle, l’isthme fut colonisé par l’empire espagnol qui y ouvrit de grandes routes marchandes pour l’or et l’argent du Pérou. Comprise dans la vice-royauté du Pérou puis rattaché à celle de Nouvelle-Grenade, la région fit partie de la Grande Colombie après la séparation de l’Espagne en 1821.

Un groupe d’indépendantistes discrètement soutenus par les États-Unis déclara l’indépendance de Panamá de la Colombie le 3 novembre 1903 et la souveraineté des États-Unis sur le canal de Panamá (dont la construction fut commencée en 1881 sous l’impulsion de Ferdinand de Lesseps et inauguré en 1914), par un accord à perpétuité signé la même année.
Cette construction donna lieu, en France, à un scandale politico-financier.

De nombreux troubles sociaux et politiques agitèrent cette république qui connut des régimes plus ou moins autoritaires.
Le général Omar Torrijos renégocia en 1978 l’accord sur la zone du canal (Traités de Torrijos-Carter). À sa mort en 1981, le général Manuel Noriega, commandant la garde nationale (qui fut à une période rémunéré par la CIA, s’est mis, dans les faits, à contrôler le pouvoir en accentuant le caractère populiste, nationaliste et très anti-américain de sa politique. En juillet 1987, les États-Unis ont tenté d’obtenir l’extradition de Noriega, pour trafic de drogue, puis ont soumis le pays à des sanctions économiques. Noriega, en dépit d’une opposition civile vigoureuse, s’est maintenu au pouvoir avec l’aide du Japon intéressé par la construction d’un nouveau canal, jusqu’à l’opération Just Cause lancée en décembre 1989 par l’armée américaine pour le capturer. Il sera remplacé par Guillermo Endara, son concurrent aux élections présidentielles de 1989, que Noriega avait annulées.

Le canal de Panamá fut rendu au Panamá le 31 décembre 1999, suite aux Traités de Torrijos-Carter. Depuis le 22 octobre 2006, les Panaméens ont décidé d’agrandir le canal, pour faire face à la hausse du trafic et rester compétitif sur le transbordement


GÉOGRAPHIE


Le Panamá est un pays d’Amérique Centrale, entouré par la mer des Caraïbes, l’océan Pacifique, la Colombie et le Costa Rica.
Le Panama est traversé par le canal de Panama. Ce pays est doté d'une superficie d'environ 75 517 km²3, ce qui est comparable à un peu moins du dixième de la superficie du Chili, ou bien à0.15 fois celle de la France. Le Panamá, par sa situation dans l’isthme reliant l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud, occupe une situation stratégique.

Un canal interocéanique long de 79,6 km et composé de trois jeux d’écluses (celle de Miraflores comporte deux chambres inversées, celle de Pedro Miguel se compose d’une seule chambre, celle de Gatún comporte trois chambres dénivelées), traverse le pays et permet d’aller par bateau de la mer des Caraïbes (océan Atlantique) à l’océan Pacifique et inversement, sans contourner l’Amérique du Sud par le sud du Chili et sans faire le tour du monde. Ce canal offre un gain de temps considérable pour les transporteurs maritimes (le trajet dure de huit à dix heures).

La construction du canal a débuté en 1881. Le projet est alors une initiative française après le succès du canal de Suez. En 1888, les travaux s’arrêtent en raison des problèmes financiers de la Compagnie universelle qui exploite le canal. Ce n’est qu’en 1914, après reprise des travaux en 1904, que le canal peut ouvrir. Le premier navire à passer le canal est alors le SS Ancon.
Les États-Unis exploitèrent ensuite les droits du canal (sur dix miles) avec le traité de Panamá et malgré l’indépendance du Panamá signé avec la Colombie en 1903. En effet les travaux ont repris grâce à la pression américaine qui a aussi contribué à la révolte du Panamá envers cette même Colombie.
En 1978, le Panamá a repris le contrôle de la concession sous les interventions multiples du général Omar Torrijos au pouvoir. 


ECONOMIE


Le Panamá possède la plus puissante économie d'Amérique centrale. Le pays doit principalement son essor économique au Canal de Panamá. La ville de Panamá est le plus important centre financier d'Amérique centrale. Le PIB par habitant, de 6 406 dollars (estimation 2008), est également le plus élevé de la région. Le pourcentage du PIB consacré à l'investissement était de 26,8%3 du PIB en 2010. Celui consacré à l'éducation était de 3,8%3 en 2008 et le pourcentage du PIB consacré à la défense était de 1%3 du PIB dans les dépenses militaires en 2008.

Les services occupent une grande place dans l’économie du Panama. Les principales activités sont les services financiers, le commerce et le tourisme. Pour ce qui est des principaux produits du secteur primaire du Panama ils sont ; les bananes et autres fruits, le riz, le, mais, le café, le sucre de canne, le bétail, les légumes, le bois de construction et les crevettes.

Ce pays contient des ressources naturelles limitées telles que le cuivre et l’or. Chaque année, il y a 1 050,6 milliers de tonnes de bananes produites au Panama. En 2008, 29,96% des terres du Panama constituent des terres arables agricoles. Puis, 7,36% des terres panaméennes sont des terres arables. Tandis que le secteur secondaire du Panama est caractérisé par l’industrie. Les industries les plus innovées sont celles où l’on retrouve les matériaux de construction ; tel que le ciment et la fabrication de meuble, ainsi que la préparation des aliments, de produits laitiers, le raffinage du sucre, la fabrication de vêtements, les produits pétroliers, les produits chimiques, les papiers et tout autre produit de papier puis l’impression. 

La restitution de la zone du canal, contrôlée par les États-Unis jusqu’en 1999, a encouragé le lancement de nouveaux projets. Panamá fait partie des pavillons de complaisance. Le 22 octobre 2006, les Panaméens ont décidé par référendum de rester compétitifs dans le trafic de marchandises. D’après l’ACP (organisme qui gère le canal) les retombées économiques générées seront énormes. Cet agrandissement à un jeu de trois écluses s’imposait car le trafic de container est en constante augmentation, de plus les deux canaux ne pouvaient plus absorber le flux incessant de navires. Cet élargissement va permettre aux bateaux à fort tirant d’eau et à grand tonnage de ne plus faire de détour et donc de gagner du temps, cet élargissement permettra un gain de temps énorme, ce qui permettra d’engranger plus de profit. 

Du côté panaméen, cela va engendrer la création de près de quarante mille emplois directs et indirects et permettre à la population de ce pays, dont 40 % vit sous le seuil de pauvreté, de profiter de la manne économique. Cela peut aussi influer sur la région où les investisseurs pourront trouver des conditions avantageuses à leur installation, de trouver des taux d’impositions faibles et pourquoi pas profiter d’une zone franche comme on en trouve à la frontière sud des États-Unis. De plus, un troisième élargissement est déjà prévu pour faire face à la hausse du trafic et pour rester compétitif. 


LA CULTURE


L’espagnol est la seule langue officielle, mais de nombreuses personnes parlent aussi l’anglais. 
Les Espagnols ont converti les indigènes et les noirs au christianisme, aujourd’hui encore très présent. Cependant des restes de religion indigène ou africaine existent toujours. Le Panama compte de nombreuses danses d’origine africaine.
Les Panaméens font une semaine de carnaval qui se termine la veille du mercredi des cendres premier jour de carême. 

PANAMA présentation





Revenu dans le giron panaméen depuis la fin de l'année 1999, celui-ci devrait permettre au pays de conforter une stabilité économique et politique issue de sa synthèse entre sa culture indienne d'origine et l'héritage colonial espagnol. En quittant le Panama, vous aurez le sentiment d'avoir découvert un secret encore bien gardé.

Intitulé officiel du pays : Panama


Capitale : Panamá

Superficie : 78 200 km²

Population : 3 292 693 d’habitants

Peuples et ethnies : Espagnol (77,7 %), moins d’une dizaine de langues amérindiennes

Langues : Espagnol 
Religions : Au Panama, il ya une totale liberté du culte, même si la religion officielle qui est pratiquée par la plupart des gens est la religion catholique., les autres religions telles que les religions protestantes, le Judaïsme, l'Islam, le Bouddhisme et autres sont aussi pratiquées. 
Institutions politiques : République
Président : Ricardo Martinelli
Monnaie : Balboa




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COSTA RICA INFOS


HISTOIRE

Les Amérindiens habitent le Costa Rica depuis au moins 5000 avant notre ère, mais ils ont toujours été peu nombreux par comparaison avec les civilisations précolombiennes comme les Mayas. Bien que les premiers habitants du pays aient résisté énergiquement aux conquistarores et aux missionnaires espagnols, ils ont fini par succomber aux épidémies, sont morts au combat ou ont quitté la région pour des lieux plus accueillants. C'est ainsi que l'on peut expliquer le nombre peu élevé de ces autochtones aujourd’hui.


La période coloniale
D'après les historiens, Christophe Colomb aurait débarqué sur la côte costaricaine près de Puerto Limón en 1502; il appela le pays «Huerta», c’est-à-dire «le verger» ou le «jardin». Mais la conquête espagnole n'a pas eu lieu immédiatement, elle viendra un peu plus tard en raison de la forte hostilité des Amérindiens et de la présence des maladies tropicales.

C’est Juan de Cavallón qui mena les premiers colonisateurs victorieux au Costa Rica en 1561. Juan Vázquez de Coronado lui succéda en 1562 et fonda Cartago dans les montagnes où les conditions de vie étaient plus saines; c'est lui qui appela la région Costa Rica, «la côte riche». Au point de vue administratif, à partir de 1570, le Costa Rica fit partie de la Capitainerie générale du Guatemala pour le compte de l'Espagne, dans la vice-royauté du Mexique. Cependant, son éloignement de la ville de Guatemala et son apparent manque de richesse lui permirent de se développer sans subir la même intervention directe que les autres provinces d’Amérique centrale. La ville de Heredia fut fondée en 1717, San José en 1737 et Alajuela en 1782.

Déjà, à cette époque, les maladies amenées par les Européens avaient pratiquement exterminé toute la population autochtone. Comme les indigènes étaient peu nombreux, les représentants de l’autorité espagnole et de l’Église les laissèrent se développer à l’écart du courant historique de l’Amérique latine. Au cours de l'histoire coloniale, même les Européens demeuraient peu nombreux. Or, étant donné que ceux-ci ne pouvaient assumer économiquement le transport des esclaves noirs provenant d'Afrique, ils se contentèrent d'en faire venir quelques centaines de la Jamaïque. Entre-temps, les Européens avaient imposé l'usage exclusif de la langue espagnole dans l'administration de la colonie.


L’indépendance
L'Amérique centrale obtint son indépendance de l'Espagne en 1821. Par la suite, le Costa Rica fit brièvement partie de l'Empire mexicain d’Agustín de Iturbide, mais ce dernier fut aussitôt renversé en mars 1823 par un officier (Santa Anna) qui instaura la république du Mexique en 1824. À partir de ce moment et jusqu’en 1838, le Costa Rica devint l’un des cinq États de la Fédération des Provinces-Unies d’Amérique centrale, fondée par le Libertador vénézuélien Simon Bolívar. Le Costa Rica forma une république indépendante en 1838. Quelques années plus tard, en 1843, le pays développa la culture du café. En même temps, les villes de Cartago, San José, Heredia et Alajuela se disputèrent la suprématie du pays. Ce fut San José qui parvint à prendre le contrôle du pays tout en installant un régime démocratique qui se transforma en dictature. Celle-ci fut renversés en 1859 par un gouvernement libéral. En 1869, l'enseignement devint obligatoire et gratuit; selon les autorités costaricaines, tout citoyen devait pouvoir lire, écrire et compter.

Sous le mandat de Tomás Guardia (1870-1882), le Costa Rica bénéficia de larges investissements étrangers dans les chemins de fer et autres équipements publics. L’époque fut marquée par l’essor de la culture du café qui devient un important produit d’exportation. La croissance des exportations de café, grâce au chemin de fer de San José à Puerto Limón, et de bananes introduites en 1878, amena la prospérité et une augmentation de la population. Toutefois, l’implantation de la United Fruit Company, une compagnie américaine créée par l’homme d’affaires Minor C. Keith contribua à cet essor, mais rendit également le Costa Rica plus dépendant des marchés et des capitaux étrangers, de même qu’avec la langue anglaise. 

Cette réussite économique fit souvent comparer le Costa Rica à la Suisse. La vie politique du Costa Rica était plus calme que dans les autres pays d'Amérique latine, et les gouvernements furent élus démocratiquement, sauf au cours de brèves périodes, par exemple, les dictatures du général Federico Tinico (1917 à 1919), et la junte de José Figueres Ferrer en 1948. Celui-ci adopta une constitution libérale et accorda le droit de vote aux femmes et aux Noirs. Il interdit le renouvellement successif du mandat présidentiel plus d’une fois et, une première en Amérique latin, il abolit l'armée. Cette situation nique avait le mérite d'alléger le budget nationale, mais aussi l'inconvénient d'aggraver la dépendance du pays à l'égard des États-Unis.

Néanmoins, le Costa Rica demeura le pays le plus démocratique de toute l’Amérique latine. Le Parti de la libération nationale (Partido de Liberación Nacional, PLN), dirigé par José Figueres Ferrer devint pour une longue période le parti dominant du pays. José Figueres Ferrer fut président de 1953 à 1958, puis à nouveau de 1970 à 1974. Il est considéré comme l'un des personnages les plus importants de l'histoire costaricaine et décédera en 1990.

Au début des années quatre-vingt, le Costa Rica connut une croissance démographique rapide, qui contribua à l’essor économique du pays. Le PLN revint au pouvoir en 1982, avec l’élection à la présidence de Luis Alberto Monge Alvárez ; Óscar Arias Sánchez, également du PLN, lui succéda en 1986 et gouverna le pays jusqu'en 1990; il consacra son mandat à tenter de restaurer la paix en Amérique centrale et à assurer la stabilité politique de la région. 
En 1987, Óscar Arias Sánchez obtint le prix Nobel de la paix pour avoir été l'artisan des processus de paix enclenchés pour résoudre les conflits armés qui affectaient l'Amérique centrale durant les années quatre-vingt, notamment pour son opposition au soutien des États-Unis aux Contras dans la guerre civile qui avait lieu au Nicaragua. Puis Rafael Angel Calderón Fournier, fils de l’ancien président Rafael Calderón, remporta l’élection présidentielle de février 1990 pour l’Unité sociale-chrétienne. En 1994, ce fut le tour de José-Maria Figueres Olsen, fils de l’ancien président José Figueres Ferrer, d'être élu président. 
En février 1998, Miguel Angel Rodríguez lui succéda en s’engageant à combattre la corruption et la délinquance, et à prendre des mesures pour réduire la dette et l’inflation. En 2002, Abel Pacheco de la Espriella, s'imposa comme leader de l'Unité sociale chrétienne (Partido Unidad Social Cristiana) et fut président de la république du Costa Rica jusqu'en mai 2006, alors que Oscar Arias Sánchez, président de 1986 à 1990, fut réélu à la présidence du pays. Il ne se représentera pas en 2010.

GÉOGRAPHIE


Le Costa Rica est situé en Amérique centrale. Il est limitrophe au nord avec le Nicaragua et au sud avec la Panama. A l'ouest se trouve l'océan Pacifique et à l'est, l'océan Atlantique (dans la région des Caraïbes). Le littoral irrégulier des Caraïbes comporte deux péninsules, Nicoya (au nord) et Osa (au sud).
Une chaîne de montagnes traverse le Costa Rica du nord-ouest au sud-est formant au centre du pays une fertile vallée centrale d'une superficie de 3.000 km² environ. Cette chaîne est divisée en trois partie, du nord au sud elle prend le nom de cordillera de Guanacaste puis cordillera Volcanica Central et enfin elle devient la cordillera de Talamanca.
On trouve au Costa Rica de nombreux fleuves et rivières qui descendent des montagnes pour fertiliser davantage les plaines côtières. 

ECONOMIE


Le Costa Rica tire l'essentiel de ses revenus de l'agriculture. Le café est la base de l'économie et génère une grande partie des devises du pays, ainsi que la banane, le sucre et la viande d'élevage.
Le tourisme avec plus d'un million de visiteurs chaque année est un secteur en fort développement au Costa Rica, le gouvernement y a beaucoup investi durant les années 90, mettant l'accent sur les atouts naturels du pays. A partir des années 80, le Costa Rica s'est trouvé dans l'obligation de demander l'aide du FMI et la banque mondiale pour réduire sa dette extérieure. 

 

LA CULTURE


Le Costa Rica est le point de rencontre entre deux grandes cultures ancestrales en amérique. Le nord du pays était le point le plus au sud de l'influence de l'empire maya quand les conquistadors espagnols sont arrivés au XVIe siècle. À l'opposé, le centre et le sud du pays ont subi l'influence des Chibcha. Au cours des 17ème et XVIIIe siècle, la côte atlantique du Costa Rica a été colonisé par des esclaves africains. Au même moment, des milliers de familles chinoises sont arrivés au Costa Rica pour travailler sur les chemins de fer. Ces diverses influences ont développé une culture extrêmement variée au sein du Costa Rica. 

PANAMA présentation





Revenu dans le giron panaméen depuis la fin de l'année 1999, celui-ci devrait permettre au pays de conforter une stabilité économique et politique issue de sa synthèse entre sa culture indienne d'origine et l'héritage colonial espagnol. En quittant le Panama, vous aurez le sentiment d'avoir découvert un secret encore bien gardé.

Intitulé officiel du pays : Panama


Capitale : Panamá

Superficie : 78 200 km²

Population : 3 292 693 d’habitants

Peuples et ethnies : Espagnol (77,7 %), moins d’une dizaine de langues amérindiennes

Langues : Espagnol 
Religions : Au Panama, il ya une totale liberté du culte, même si la religion officielle qui est pratiquée par la plupart des gens est la religion catholique., les autres religions telles que les religions protestantes, le Judaïsme, l'Islam, le Bouddhisme et autres sont aussi pratiquées. 
Institutions politiques : République
Président : Ricardo Martinelli
Monnaie : Balboa




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COSTA RICA INFOS


HISTOIRE

Les Amérindiens habitent le Costa Rica depuis au moins 5000 avant notre ère, mais ils ont toujours été peu nombreux par comparaison avec les civilisations précolombiennes comme les Mayas. Bien que les premiers habitants du pays aient résisté énergiquement aux conquistarores et aux missionnaires espagnols, ils ont fini par succomber aux épidémies, sont morts au combat ou ont quitté la région pour des lieux plus accueillants. C'est ainsi que l'on peut expliquer le nombre peu élevé de ces autochtones aujourd’hui.


La période coloniale
D'après les historiens, Christophe Colomb aurait débarqué sur la côte costaricaine près de Puerto Limón en 1502; il appela le pays «Huerta», c’est-à-dire «le verger» ou le «jardin». Mais la conquête espagnole n'a pas eu lieu immédiatement, elle viendra un peu plus tard en raison de la forte hostilité des Amérindiens et de la présence des maladies tropicales.

C’est Juan de Cavallón qui mena les premiers colonisateurs victorieux au Costa Rica en 1561. Juan Vázquez de Coronado lui succéda en 1562 et fonda Cartago dans les montagnes où les conditions de vie étaient plus saines; c'est lui qui appela la région Costa Rica, «la côte riche». Au point de vue administratif, à partir de 1570, le Costa Rica fit partie de la Capitainerie générale du Guatemala pour le compte de l'Espagne, dans la vice-royauté du Mexique. Cependant, son éloignement de la ville de Guatemala et son apparent manque de richesse lui permirent de se développer sans subir la même intervention directe que les autres provinces d’Amérique centrale. La ville de Heredia fut fondée en 1717, San José en 1737 et Alajuela en 1782.

Déjà, à cette époque, les maladies amenées par les Européens avaient pratiquement exterminé toute la population autochtone. Comme les indigènes étaient peu nombreux, les représentants de l’autorité espagnole et de l’Église les laissèrent se développer à l’écart du courant historique de l’Amérique latine. Au cours de l'histoire coloniale, même les Européens demeuraient peu nombreux. Or, étant donné que ceux-ci ne pouvaient assumer économiquement le transport des esclaves noirs provenant d'Afrique, ils se contentèrent d'en faire venir quelques centaines de la Jamaïque. Entre-temps, les Européens avaient imposé l'usage exclusif de la langue espagnole dans l'administration de la colonie.


L’indépendance
L'Amérique centrale obtint son indépendance de l'Espagne en 1821. Par la suite, le Costa Rica fit brièvement partie de l'Empire mexicain d’Agustín de Iturbide, mais ce dernier fut aussitôt renversé en mars 1823 par un officier (Santa Anna) qui instaura la république du Mexique en 1824. À partir de ce moment et jusqu’en 1838, le Costa Rica devint l’un des cinq États de la Fédération des Provinces-Unies d’Amérique centrale, fondée par le Libertador vénézuélien Simon Bolívar. Le Costa Rica forma une république indépendante en 1838. Quelques années plus tard, en 1843, le pays développa la culture du café. En même temps, les villes de Cartago, San José, Heredia et Alajuela se disputèrent la suprématie du pays. Ce fut San José qui parvint à prendre le contrôle du pays tout en installant un régime démocratique qui se transforma en dictature. Celle-ci fut renversés en 1859 par un gouvernement libéral. En 1869, l'enseignement devint obligatoire et gratuit; selon les autorités costaricaines, tout citoyen devait pouvoir lire, écrire et compter.

Sous le mandat de Tomás Guardia (1870-1882), le Costa Rica bénéficia de larges investissements étrangers dans les chemins de fer et autres équipements publics. L’époque fut marquée par l’essor de la culture du café qui devient un important produit d’exportation. La croissance des exportations de café, grâce au chemin de fer de San José à Puerto Limón, et de bananes introduites en 1878, amena la prospérité et une augmentation de la population. Toutefois, l’implantation de la United Fruit Company, une compagnie américaine créée par l’homme d’affaires Minor C. Keith contribua à cet essor, mais rendit également le Costa Rica plus dépendant des marchés et des capitaux étrangers, de même qu’avec la langue anglaise. 

Cette réussite économique fit souvent comparer le Costa Rica à la Suisse. La vie politique du Costa Rica était plus calme que dans les autres pays d'Amérique latine, et les gouvernements furent élus démocratiquement, sauf au cours de brèves périodes, par exemple, les dictatures du général Federico Tinico (1917 à 1919), et la junte de José Figueres Ferrer en 1948. Celui-ci adopta une constitution libérale et accorda le droit de vote aux femmes et aux Noirs. Il interdit le renouvellement successif du mandat présidentiel plus d’une fois et, une première en Amérique latin, il abolit l'armée. Cette situation nique avait le mérite d'alléger le budget nationale, mais aussi l'inconvénient d'aggraver la dépendance du pays à l'égard des États-Unis.

Néanmoins, le Costa Rica demeura le pays le plus démocratique de toute l’Amérique latine. Le Parti de la libération nationale (Partido de Liberación Nacional, PLN), dirigé par José Figueres Ferrer devint pour une longue période le parti dominant du pays. José Figueres Ferrer fut président de 1953 à 1958, puis à nouveau de 1970 à 1974. Il est considéré comme l'un des personnages les plus importants de l'histoire costaricaine et décédera en 1990.

Au début des années quatre-vingt, le Costa Rica connut une croissance démographique rapide, qui contribua à l’essor économique du pays. Le PLN revint au pouvoir en 1982, avec l’élection à la présidence de Luis Alberto Monge Alvárez ; Óscar Arias Sánchez, également du PLN, lui succéda en 1986 et gouverna le pays jusqu'en 1990; il consacra son mandat à tenter de restaurer la paix en Amérique centrale et à assurer la stabilité politique de la région. 
En 1987, Óscar Arias Sánchez obtint le prix Nobel de la paix pour avoir été l'artisan des processus de paix enclenchés pour résoudre les conflits armés qui affectaient l'Amérique centrale durant les années quatre-vingt, notamment pour son opposition au soutien des États-Unis aux Contras dans la guerre civile qui avait lieu au Nicaragua. Puis Rafael Angel Calderón Fournier, fils de l’ancien président Rafael Calderón, remporta l’élection présidentielle de février 1990 pour l’Unité sociale-chrétienne. En 1994, ce fut le tour de José-Maria Figueres Olsen, fils de l’ancien président José Figueres Ferrer, d'être élu président. 
En février 1998, Miguel Angel Rodríguez lui succéda en s’engageant à combattre la corruption et la délinquance, et à prendre des mesures pour réduire la dette et l’inflation. En 2002, Abel Pacheco de la Espriella, s'imposa comme leader de l'Unité sociale chrétienne (Partido Unidad Social Cristiana) et fut président de la république du Costa Rica jusqu'en mai 2006, alors que Oscar Arias Sánchez, président de 1986 à 1990, fut réélu à la présidence du pays. Il ne se représentera pas en 2010.

GÉOGRAPHIE


Le Costa Rica est situé en Amérique centrale. Il est limitrophe au nord avec le Nicaragua et au sud avec la Panama. A l'ouest se trouve l'océan Pacifique et à l'est, l'océan Atlantique (dans la région des Caraïbes). Le littoral irrégulier des Caraïbes comporte deux péninsules, Nicoya (au nord) et Osa (au sud).
Une chaîne de montagnes traverse le Costa Rica du nord-ouest au sud-est formant au centre du pays une fertile vallée centrale d'une superficie de 3.000 km² environ. Cette chaîne est divisée en trois partie, du nord au sud elle prend le nom de cordillera de Guanacaste puis cordillera Volcanica Central et enfin elle devient la cordillera de Talamanca.
On trouve au Costa Rica de nombreux fleuves et rivières qui descendent des montagnes pour fertiliser davantage les plaines côtières. 

ECONOMIE


Le Costa Rica tire l'essentiel de ses revenus de l'agriculture. Le café est la base de l'économie et génère une grande partie des devises du pays, ainsi que la banane, le sucre et la viande d'élevage.
Le tourisme avec plus d'un million de visiteurs chaque année est un secteur en fort développement au Costa Rica, le gouvernement y a beaucoup investi durant les années 90, mettant l'accent sur les atouts naturels du pays. A partir des années 80, le Costa Rica s'est trouvé dans l'obligation de demander l'aide du FMI et la banque mondiale pour réduire sa dette extérieure. 

 

LA CULTURE


Le Costa Rica est le point de rencontre entre deux grandes cultures ancestrales en amérique. Le nord du pays était le point le plus au sud de l'influence de l'empire maya quand les conquistadors espagnols sont arrivés au XVIe siècle. À l'opposé, le centre et le sud du pays ont subi l'influence des Chibcha. Au cours des 17ème et XVIIIe siècle, la côte atlantique du Costa Rica a été colonisé par des esclaves africains. Au même moment, des milliers de familles chinoises sont arrivés au Costa Rica pour travailler sur les chemins de fer. Ces diverses influences ont développé une culture extrêmement variée au sein du Costa Rica. 

COSTA RICA présentation



Le Costa Rica, c’est surtout un pays de rencontres, des habitants ouverts, sensibles et accueillants... Un pays qui a abandonné son armée et privilégié la santé et l’éducation de sa population sans attendre la mode du développement durable. Un pays où il est facile d’être un voyageur heureux et comblé !


Intitulé officiel du pays : Costa Rica


Capitale : San José

Superficie : 51 100 km²

Population : 4 563 538 d’habitants
Peuples et ethnies : Espagnol (90 %), créole à base d’anglais, maléku (ou guatuso), cabécar (ou chirripó), bribri et brunca, Plautdietsch.
Langues : Les Costa Ricains parlent l'espagnol américain standard, mais ils utilisent habituellement des formules très respectueuses pour s'adresser aux autres. Quand ils utilisent une forme familière, ils utilisent des mots comme "voseo/vo", "tú".Ils parlent aussi d'autres langues comme le Bribi, mais ce ne sont pas les seules langues qu'ils parlent.
Religions : Le catholicisme est reconnu comme la religion officielle au Costa Rica ; plusieurs ticos clament qu'ils sont catholiques, mais peu suivent actuellement la doctrine religieuse à la lettre. La "Virgen de los Angeles" aussi connue comme La Negrita est le plus important symbole de la religion catholique. Le Costa Rica compte également plusieurs groupuscules qui pratiquent un mélange de catholicisme, d'occultisme et de traditions de leurs ancêtres africains ou amérindiens.
Institutions politiques : République
Président : Laura Chinchilla
Monnaie : Colon





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COSTA RICA présentation



Le Costa Rica, c’est surtout un pays de rencontres, des habitants ouverts, sensibles et accueillants... Un pays qui a abandonné son armée et privilégié la santé et l’éducation de sa population sans attendre la mode du développement durable. Un pays où il est facile d’être un voyageur heureux et comblé !


Intitulé officiel du pays : Costa Rica


Capitale : San José

Superficie : 51 100 km²

Population : 4 563 538 d’habitants
Peuples et ethnies : Espagnol (90 %), créole à base d’anglais, maléku (ou guatuso), cabécar (ou chirripó), bribri et brunca, Plautdietsch.
Langues : Les Costa Ricains parlent l'espagnol américain standard, mais ils utilisent habituellement des formules très respectueuses pour s'adresser aux autres. Quand ils utilisent une forme familière, ils utilisent des mots comme "voseo/vo", "tú".Ils parlent aussi d'autres langues comme le Bribi, mais ce ne sont pas les seules langues qu'ils parlent.
Religions : Le catholicisme est reconnu comme la religion officielle au Costa Rica ; plusieurs ticos clament qu'ils sont catholiques, mais peu suivent actuellement la doctrine religieuse à la lettre. La "Virgen de los Angeles" aussi connue comme La Negrita est le plus important symbole de la religion catholique. Le Costa Rica compte également plusieurs groupuscules qui pratiquent un mélange de catholicisme, d'occultisme et de traditions de leurs ancêtres africains ou amérindiens.
Institutions politiques : République
Président : Laura Chinchilla
Monnaie : Colon





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dimanche 3 février 2013

Préparatifs

C'est bientôt le jour J !
Il faut penser à rassembler tout ce qu'il faut pour ce voyage "coup de coeur".
Apparemment il fait chaud, là bas, la valise ne sera donc pas trop encombrée, ce qui veut aussi dire qu'il y aura un peu de place pour rapporter des souvenirs !

Préparatifs

C'est bientôt le jour J !
Il faut penser à rassembler tout ce qu'il faut pour ce voyage "coup de coeur".
Apparemment il fait chaud, là bas, la valise ne sera donc pas trop encombrée, ce qui veut aussi dire qu'il y aura un peu de place pour rapporter des souvenirs !